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mercredi 19 novembre 2008
un livre, des cartes postales, des photographes, un architecte
J'ai de la chance.
Le facteur m'apporte ce matin un magnifique livre consacré à Jean Balladur. L'ouvrage dédicacé par l'architecte (oui) est essentiellement un recueil de photographies. Des photographies réalisées par le duo dont on a déjà parlé ici : Pierre Joly et Véra Cardot (oui).
Mais cela me permet surtout de donner un nom d'architecte pour un bâtiment repéré sur un carte postale Abeille-cartes, Lyna envoyée en 1976. Cette vue aérienne superbe nous montre la Défense sans l'Arche en BIBACOLOR (sic !) photographiée par Jean Bastide qui a eu bien de la chance de voler au-dessus de Paris de la sorte. On voit bien en effet au milieu des monolithes ce bâtiment tramé de blanc et de noir, très graphique avec des courbes étranges au bord du bâti. Cela répond un peu au lyrisme du C.N.I.T.
Ce bâtiment est donc de Jean Balladur pour lequel mes aficionados connaissent mon admiration sans borne. Oui. Voyons ce que nous dit l'ouvrage :
"Cet immeuble de bureaux, construit pour être le siège de la Société de Réassurance dans l'ensemble de la défense, se situe sur le parvis au-dessus du centre Commercial des Quatre-Temps, et dialogue avec le C.N.I.T qui lui est diamétralement opposé. Il lui emprunte le traitement courbe et sculptural des pignons, la couleur blanche du marbre de Carrare qui habille les façades et le dessin des arcatures qui couronnent et terminent ce petit édifice. Il tente de dessiner, dans le contexte de la défense, une nouvelle approche de l'immeuble de bureaux, typiquement française, et enfin libérée des modèles américains."
J'ai vraiment de la chance.
Si je regarde bien, au fond de cette carte postale, je remarque un autre bâtiment dont je possède également une vue. Le Paris Penta Hôtel place Charras à Courbevoie. Étonnant toujours de sauter d'une image à l'autre; d'un point de vue architectural pas grand-chose à dire sinon qu'il s'agit d'un cylindre percé d'ouvertures, les chambres. Impossible d'obtenir plus d'informations, est-ce utile ? la carte postale est une édition Studio 4.
Suivent quelques photographies du duo Pierre Joly et Vera Cardot extraites du livre Jean Balladur aux éditions Conseils.
la montagne ça nous gagne
Retour dans les altitudes rafraîchissantes...
Je retrouve ce matin deux belles cartes de belles architectures. Une dont je viens de vous parler Aime 2000 par Michel Besançon et une nouvelle tout aussi spectaculaire : cette fois il s'agit de La Daille à Val d'Isère.
Le nouveau point de vue sur Aime 2000 place la bâtisse entre blanc et bleu. Le bâtiment démontre son isolement sur le site, une langue de pierre seule apte à le porter ce qui justifie sa forme allongée. Il serpente un peu en la suivant, on devine le rocher sous le bâtiment à gauche. On perçoit aussi la nuance dans le dessin de la façade avec ce double étage qui n'est pas sans rappeler le décrochement similaire sur les façade des cités radieuses de Le Corbusier, les rues intérieures. Voyez la magnifique cabine de téléphérique d'une belle pureté de dessin. Il s'agit d'une magnifique édition Combier en exclusivité pour "les bazars" éditée en 1981.
Regardons maintenant La Daille à Val d'Isère. La carte postale aux éditions Cap-Théojac est superbe. La photographie est de I. Tardiglio imprimée en Mexichrome. Le bâtiment apparaît lui-même comme un profil montagneux tout en décrochements et ce qui doit être le zinc ou l'acier de la toiture donnent une sensation sculpturale très expressionniste du plus bel effet. Admirons le premier plan très animé et pour moi qui n'ai jamais vu la montagne l'hiver cela donne bien envie d'aller lire au soleil. J'apprends que le bâtiment est labellisé Patrimoine du XXème siècle et je trouve des informations dans notre guide vénéré. Je vous laisse lire. A noter que le Ministère de la Culture ne nous donne pas tout à fait les même noms d'architectes : Chaussade Pierre, Locre Robert, Akchote Jean-Claude, Akchote Jean, construction entre 1968 et 1978 !
Je retrouve ce matin deux belles cartes de belles architectures. Une dont je viens de vous parler Aime 2000 par Michel Besançon et une nouvelle tout aussi spectaculaire : cette fois il s'agit de La Daille à Val d'Isère.
Le nouveau point de vue sur Aime 2000 place la bâtisse entre blanc et bleu. Le bâtiment démontre son isolement sur le site, une langue de pierre seule apte à le porter ce qui justifie sa forme allongée. Il serpente un peu en la suivant, on devine le rocher sous le bâtiment à gauche. On perçoit aussi la nuance dans le dessin de la façade avec ce double étage qui n'est pas sans rappeler le décrochement similaire sur les façade des cités radieuses de Le Corbusier, les rues intérieures. Voyez la magnifique cabine de téléphérique d'une belle pureté de dessin. Il s'agit d'une magnifique édition Combier en exclusivité pour "les bazars" éditée en 1981.
Regardons maintenant La Daille à Val d'Isère. La carte postale aux éditions Cap-Théojac est superbe. La photographie est de I. Tardiglio imprimée en Mexichrome. Le bâtiment apparaît lui-même comme un profil montagneux tout en décrochements et ce qui doit être le zinc ou l'acier de la toiture donnent une sensation sculpturale très expressionniste du plus bel effet. Admirons le premier plan très animé et pour moi qui n'ai jamais vu la montagne l'hiver cela donne bien envie d'aller lire au soleil. J'apprends que le bâtiment est labellisé Patrimoine du XXème siècle et je trouve des informations dans notre guide vénéré. Je vous laisse lire. A noter que le Ministère de la Culture ne nous donne pas tout à fait les même noms d'architectes : Chaussade Pierre, Locre Robert, Akchote Jean-Claude, Akchote Jean, construction entre 1968 et 1978 !
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