presque sans commentaire, car :
soit nous en avons déjà parlé
soit il est aisé de trouver des informations.
Alors hop !
On y va !
Il s'agit d'un complément à l'article ici consultable sur l'église Sainte-Bernadette de Dijon dont Monsieur Belmont est l'architecte.
On est dans la crypte. Il est aisé d'admirer un tel travail de colonnade. Regardez simplement comment les colonnes font jonction et forment dans un même mouvement chapiteaux et plafond.
Superbes courbes.
la carte postale est une édition Combier qui nomme l'architecte et le photographe D. Tibislawsky.
Et hop !
Nous voici de retour à Mourenx dont nous avons dit tout un tas de choses ici.
Nous ne reviendrons pas sur l'importance historique du lieu construit par Monsieur Maneval mais nous nous attarderons cette fois sur l'église de Monsieur Douillet architecte.
Il semble que celui-ci ait joué les oppositions avec cet environnement.
Courbes souples, matériaux hétérogènes, plan complexe, masse travaillée, tout cela pour briser la rectitude de la cité et faire une opposition en signal.
Il s'agit de signifier la différence de fonction, de particulariser le lieu.
Même si je la trouve attendrissante avec son toit qui se relève au coin et son petit côté pagode, j'ai un peu de mal à prendre cette église au sérieux. Le petit clocher est un rien ridicule.
Mais... il faudrait aller voir et entrer sous ce toit courbé qui cache certainement son jeu.
La carte postale reste un superbe document parfaitement photographié et édité. Admirons le ciel.
La construction de l'image aussi qui donne à la tour une hauteur et un élan incroyable. Tour d'ailleurs très belle.
Nous sommes en photographie véritable aux éditions C. Roux.
Et hop !
Chef-d'œuvre total.
Nous sommes en Italie devant l'une des plus remarquables églises du vingtième siècle à la richesse critique incroyable.
Cette église je l'ai aperçue vite vite vite dans un bus avec 50 étudiants sur une autoroute allant et revenant de Florence.
Le temps de la signaler au micro aux étudiants et Hop ! elle avait disparu...
J'exige qu'à notre prochain voyage à Florence on aille la voir.
L'architecte de ce que l'on nomme parfois l'église de l'autoroute est Giovanni Michelucci. Mais le vrai nom de cette église est Chiesa di San Giovanni Battista.
D'une complexité formelle inouïe qui la range dans une sorte d'expressionnisme italien sauvage, cette église fait à la fois référence sans peur à une sorte de gothique déjanté, de décor de film de Murnau ou de Gaudi sous acide.
Une sorte de sculpture que l'on pénètre, de grotte fabriquée, bref tout conduit à l'impossibilité de saisir le plan et la forme dans sa globalité.
La carte postale est une édition Nova Lux en FotorapidaColor (sic !)
Je vous laisse la visiter sur les nombreux sites visibles sur internet. Et je tente de vous montrer deux petits petits film pris depuis... notre bus.
Tiens... ça m'émeut...
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