lundi 28 septembre 2009

Criticat numéro 4


Je viens de recevoir mes exemplaires de la revue Criticat N° 4 .
J'ai l'honneur et la joie d'y participer grâce à l'invitation chaleureuse de sa rédaction.
Vous trouverez donc dans ce numéro quelques pages traitées un peu à la manière de ce blog avec des commentaires de cartes postales ici axées sur l'idée du Grand Paris.
C'est une vraie chance pour moi de faire ainsi connaître ce blog d'une autre manière.
En retour, cet article vous fera peut-être également découvrir cette revue d'architecture bien passionnante et aux centres d'intérêts parfois si proches des miens.
Par exemple, dans ce numéro 4 un article magnifique sur les dessins de l'architecte James Stirling par Irénée Scalbert.
Ne pas manquer non plus le bel article sur une petite maison dans le Grand Paris avec une belle manière d'inscrire un lieu en jouant de la critique architecturale par Françoise Fromonot et des dessins par Martin Etienne.
Et puis un article sur Pialat par un Joachim Lepastier qui est l'animateur du blog "365 jours ouvrables" que nous connaissons déjà un peu ici et qui sait tellement nous donner l'envie de voir après avoir eu le plaisir de lire.
Bref, vous aimez l'architecture puisque vous lisez ce blog, donc vous aimerez la revue Criticat.
Et puis, cerise sur le gâteau, je reçois cela :



Ministère de la Marine Marchande, Place Fontenoy dans la collection Tabac "aux Ministères" !
C'est en photo véritable, c'est Monsieur André Ventre l'architecte et c'est envoyé très gentiment par Julie Desprairies qui signe un article sur une expérience entre danse et architecture chez Monsieur Portzamparc à Rennes.
Une expérience troublante que je ne peux m'empêcher (eh oui!) de rapprocher du travail qu'effectua la sœur de Claude Parent, Nicole, sur les plans obliques. Mais j'avoue, oui, Julie, j'avoue que mes connaissances en danse sont d'une faiblesse inquiétante...
En tout cas, il m'a semblé voir là une réponse à votre dernière phrase concernant un travail en amont entre les danseurs et les architectes. Ce que Claude Parent dans ces livres et écrits nombreux a aussi porté de ses vœux. Le corps mobile et en action est pour moi le centre même de son œuvre.

En tête de cet article, une carte postale que je trouvai alors que j'étais en pleine rédaction de l'article.
Une carte postale qui dit tout de ce rêve déjà ancien d'un Grand Paris.
Je ne connais pas la raison de cette curieuse édition, ni même si elle était vendue au Havre, à Rouen ou encore à Paris.
Il s'agit d'une édition la Cigogne.
Attendez... oui !
Il s'agit d'une exclusivité Hachette, boulevard industriel à Sotteville-lès-Rouen !
Il n'y a donc aucun doute cette carte est rouennaise. Elle est donc l'émanation d'un désir de cette ville. Elle date d'ailleurs de la période Lecanuet, l'inventeur du centre ville piéton !
On remarquera que la phrase est de Napoléon. Lecanuet, Napoléon...

revue CRITICAT
52, rue de Douai
75009 Paris
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www.criticat.fr