lundi 25 octobre 2010

mourir chez Bofill

Georges Frêche a qui l'on doit le quartier Antigone de Montpellier est mort dans son bureau ici je crois :



Il aura donc profité jusqu'au bout de ce morceau de ville incroyable que nous devons à Ricardo Bofill et le Taller de Arquitectura.
Est-ce que mourir là change quelque chose ?



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